Parlons théâtre. En dînant, Aline, Catherine et moi...

Comédien depuis le début des années 1940, Jean Pommier a joué avec les plus grands metteurs en scène : Copeau, Dullin, Jean-Louis Barrault, Barsacq, Jean-Marie Serrault, Georges Wilson...
Collection dirigée par Patricia Ferté
Du grec Maiandros, désignant un fleuve de Turquie sinueux, le Menderes, le méandre est une sinuosité très prononcée d'un cours d'eau qui se produit lorsque la pente est très faible. De même, « Méandre » a pour toile de fond la grande ou la petite histoire : le long du temps historique, et pour vocation d'éditer des romans historiques : le long du temps historique, le récit s'écoule et forme des sinuosités qui, au détour de la narration, évoquent des situations présentes à résonance sociale et contemporaine avec l'idée de pouvoir apporter un fond toujours pertinent et une forme distrayante.
Comédien depuis le début des années 1940, Jean Pommier a joué avec les plus grands metteurs en scène : Copeau, Dullin, Jean-Louis Barrault, Barsacq, Jean-Marie Serrault, Georges Wilson...
Le premier des fils, né avec le siècle en 1901, avait fini par disparaître des mémoires, englouti dans l’inconscient familial. Une trace de son histoire avait cependant subsisté, quelque peu déformée...
"Je suis le cinquième enfant d'un capitaine d'infanterie tué quand j'avais dix-sept ans. Mes frères et sœurs avaient fondé sur ce décès des espérances entretenues par le notaire. Or on eut des dettes à me reprocher.
Tout commence à Alger, à la fin des années cinquante, avec la naissance d’un amour fou entre la narratrice et un acteur-metteur en scène renommé, André Reybaz, leur mariage, leur vie à Paris où l’on croise Jean-Pierre Léaud enfant, Claude Nougaro à ses débuts, le grand Camus et tant d’autres.
« Sans m’en apercevoir, j’ai glissé vers ce puits infini, esseulée que j’étais par les prémices de la dépression puis par la violence blanche de ma maladie. Dépossédée de ma propre vie. Un voile s’est posé sur mon cœur et mon corps. »
Ce récit se veut une approche critique de quelques réalités de l'Ouzbékistan, pays très mal connu du public en dehors de son visage touristique lié à un riche passé.
Déporté en Nouvelle-Calédonie pour son activisme sous la Commune de Paris, l’Alsacien Théo Fischer écrit, afin de ne pas sombrer dans la folie, à sa femme, Madeleine, et à son fils, Alexandre, dont il est sans nouvelles depuis le 21 mai 1871.
Diana Canetti est née à Istanbul, d'un père juif turc et d'une mère gréco-espagnole orthodoxe. Sa vie commence sous les meilleurs auspices, malgré la Seconde Guerre mondiale: ses parents ont fait un mariage d'amour et les affaires de son père sont florissantes.
3, puis 3 et encore 4 : dix années au cours desquelles Elizabeth Cook veille sur leurs six enfants pendant que James circuit le globe, va chercher Vénus à Tahiti, s'assure que le continent austral est un leurre, mais voudrait croire que le passage au nord de l'Amérique n'en est pas.
Grâce à son talent de conteuse, son sens des dialogues et son don d'observation, Jeannine Letulle nous plonge en 1940, alors qu'elle n'a que six ans et que la guerre éclate, la privant de sa jeunesse.
À travers le journal d'une jeune fille aisée en quête d'indépendance, ce roman retrace l'histoire et les conséquences de la Grande Famine (An Gorta Mor en gaélique) qui frappa l'Irlande entre 1845 et 1849, entraînant la mort de près d'un million de personnes.
La guillotine doit être déplacée, elle incommode les habitants à proximité immédiate. Elle attendra d'ailleurs son lot de condamnés amenés par charrettes. Les procès se font expéditifs. Les accusateurs d'hier peuvent d'un coup devenir les accusés du jour et les exécutés du soir.