Le collégien
Le collégien évoque le parcours chaotique d’un jeune garçon adopté à l’après-guerre, qui sauvera sa vie par la fréquentation assidue de l’école.
Collection dirigée par Patricia Ferté
Du grec Maiandros, désignant un fleuve de Turquie sinueux, le Menderes, le méandre est une sinuosité très prononcée d'un cours d'eau qui se produit lorsque la pente est très faible. De même, « Méandre » a pour toile de fond la grande ou la petite histoire : le long du temps historique, et pour vocation d'éditer des romans historiques : le long du temps historique, le récit s'écoule et forme des sinuosités qui, au détour de la narration, évoquent des situations présentes à résonance sociale et contemporaine avec l'idée de pouvoir apporter un fond toujours pertinent et une forme distrayante.
Le collégien évoque le parcours chaotique d’un jeune garçon adopté à l’après-guerre, qui sauvera sa vie par la fréquentation assidue de l’école.
Casimiro Sabino est né un 29 février, signe selon lui de son anormalité.
Deux coeurs, celui d’une mère, celui d’une fille, une enfant « bleue ». Deux coeurs fragiles qui cessèrent un jour de battre, laissant une rouge blessure à celui de la survivante, moi en l’occurence.
« Stratégiquement repliés à Jassy avec le gouvernement et la famille royale, c’est à l’extérieur de notre légation que nous fêtons ce 14 juillet 1917. Tout est pavoisé de drapeaux bleu, blanc, rouge, radieux dans l’air léger.
Emportés par les torrents apocalyptiques de la Collectivisation, du Goulag et de la Shoah, des êtres errent sur les chemins de l’Histoire et de sa démence politique.
Dakar La dernière exécution, n'est pas un simple roman, ni même un récit. C'est une histoire qui a sa musique propre. Elle commence avec un homme qui traverse le monde...
Histoire d'octavie raconte la vie d'une jeune fille niçoise qui fête ses vingt ans en 1900. Octavie appartient à la bourgeoisie commerçante aisée.
Nathaniel W. Taylor fait ici le récit d’une expédition de chasse à la baleine et aux phoques dans l’océan Indien du Sud, non loin des côtes antarctiques, à bord du navire Julius Caesar : l’auteur, âgé de 28 ans, y participait en qualité de médecin.
Nous croiserons, dans les rues des cités, des bourgeois endimanchés, des clowns et des rois, des communistes et de rustres Ottomans.
Le voyage, en Afrique, comme ailleurs, surtout lorsqu'il est dupliqué par son récit, ouvre vers un déchiffrement des êtres et des lieux rencontrés, en propose une compréhension qui s'attache à les nouer au fil de la vie de son auteur.
À travers les soubresauts d’une enquête difficile, le lecteur de ce roman policier est convié à entreprendre une plongée au cœur même du génocide comme crime d’extermination, pour essayer d’en comprendre les ressorts, la logique, le déroulement et de réfléchir sur des questions telles que la just
Comédien depuis le début des années 1940, Jean Pommier a joué avec les plus grands metteurs en scène : Copeau, Dullin, Jean-Louis Barrault, Barsacq, Jean-Marie Serrault, Georges Wilson...
Le premier des fils, né avec le siècle en 1901, avait fini par disparaître des mémoires, englouti dans l’inconscient familial. Une trace de son histoire avait cependant subsisté, quelque peu déformée...
"Je suis le cinquième enfant d'un capitaine d'infanterie tué quand j'avais dix-sept ans. Mes frères et sœurs avaient fondé sur ce décès des espérances entretenues par le notaire. Or on eut des dettes à me reprocher.
Tout commence à Alger, à la fin des années cinquante, avec la naissance d’un amour fou entre la narratrice et un acteur-metteur en scène renommé, André Reybaz, leur mariage, leur vie à Paris où l’on croise Jean-Pierre Léaud enfant, Claude Nougaro à ses débuts, le grand Camus et tant d’autres.
« Sans m’en apercevoir, j’ai glissé vers ce puits infini, esseulée que j’étais par les prémices de la dépression puis par la violence blanche de ma maladie. Dépossédée de ma propre vie. Un voile s’est posé sur mon cœur et mon corps. »
Ce récit se veut une approche critique de quelques réalités de l'Ouzbékistan, pays très mal connu du public en dehors de son visage touristique lié à un riche passé.
Déporté en Nouvelle-Calédonie pour son activisme sous la Commune de Paris, l’Alsacien Théo Fischer écrit, afin de ne pas sombrer dans la folie, à sa femme, Madeleine, et à son fils, Alexandre, dont il est sans nouvelles depuis le 21 mai 1871.